De nouvelles aventures dans l’univers d’Harry Potter. L’idée
est plutôt séduisante sur le papier, mais sera-t-elle concluante loin de
l’école des sorciers de Poudlard ?
Un nouveau départ avec quelques références
Oubliez Harry Potter, place à Norbert Dragonneau qui incarne
le nouveau départ de la saga. Oubliez le bon vieux Poudlard, c’est New-York qui
prend la main. Oubliez la vie qu’entre sorciers, les moldus ont maintenant une
place entière dans le film. L’idée géniale est de se dire que l’on est face à
une extension du monde des sorciers. Poudlard est une école parmi d’autres. Un
sorcier d’Angleterre vient se perdre en Amérique. Oui, mais pas de nouvelle
école, pas de lieux originaux… On est en ville et c’est difficile à accepter
quand on est habitué à l’univers de la sorcellerie en école.
Des animaux vraiment fantastiques
La magie de la technologie ne nous a pas donné des combats
entre sorciers époustouflants, des scènes d’actions démentielles, mais des
créatures imaginaires d’une beauté et d’un réalisme incroyable. Ce sont eux les
vraies stars du film.
Des personnages attachants mais sans reliefs
Le personnage principal Norbert joué par Eddie Redmayne est
naïf à souhait et maladroit, ça en devient presque agaçant à la fin surtout
lorsque Porpentina (Katherine Waterson) s’y met aussi dans un rôle de coincée
ridicule. Heureusement que Jacob (Dan Fogler) vient donner un peu de légèreté à
ce trio. Le méchant Percival Graves interprété par Colin Farrell est trop caricatural
et il est facile d’y deviner son côté obscur.
Le mot de la fin
Une légère déception qui fait comprendre une chose : en
dehors de l’école, la sorcellerie n’a vraiment pas le même impact sur nous les
humains.
Note personnelle : 13/20 – Presse : 14,4/20 –
Public : 17,2/20
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire