lundi 3 avril 2017

Ghost in the Shell


On en parle depuis des mois et pourtant, je ne sais pas du tout à quoi m'attendre de ce Ghost in the Shell. Est-ce vraiment une prouesse technologique inouïe ou un "Lucy 2" ? Réponse...

Un univers oppressant mais emballant

On est directement plongé dans un univers futuriste qui oscille entre humains et nouvelles technologies. Difficile de s'y projeter, mais il faut avouer qu'on peut s'attendre à ce type de décor extravagant d'ici quelques centaines d'années. Beaucoup de couleurs, des bâtiments entassés les uns sur les autres, on suffoque à moitié pour reprendre son souffle à la fin du film... mais... il y a un mais... outre cette oppression, esthétiquement se dégage quelque chose de réussi.


Scarlett en mode Major

L'actrice caméléon qui change de rôle comme de chemise est de nouveau sur le pied de guerre avec cette interprétation du Major, héroïne principale. Elle ne va pas gagner d'Oscar sur ce rôle, mais elle fait le boulot. Autour d'elle, je ne retiendrai que notre pétillante Juliette Binoche qui donne une touche de cocorico.


Ca mouline mais ça se termine bien

Le réalisateur Rupert Sanders s'est fixé un énorme défi avec cette adaptation d'un comic. Peut être un peu trop gros comme on a tendance à s'y perdre sur la première partie du film. Mais plus on avance et plus l'histoire gagne en fluidité jusqu'à parvenir à captiver le spectateur.


Le mot de la fin

Ce film enchaîne les (très) hauts et les (trop) bas ce qui le rend difficile à juger. Sur ce genre de film, soit vous ressortez enthousiasmé comme mon voisin de gauche, soit vous vous endormez comme mon voisin de dos.

Notes : Perso 13 - Presse 12 - Publique 14

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